N'hésitez pas à réagir.
Ensemble, construisons un nouveau parti !
Un constat quotidien pour toutes et tous : régression sociale généralisée !
D’année en année, nos conquêtes sociales du siècle dernier sont attaquées une à une par les gouvernements successifs. Dans tous les domaines, nos droits les plus élémentaires sont bafoués.
Cette situation de casse systématique des acquis sociaux s’inscrit dans la logique de mondialisation capitaliste qui voudrait dresser les travailleuses et les travailleurs du monde entier les uns contre les autres pour mieux les exploiter. La folle course au profit dans laquelle sont engagés les maîtres du monde menace notre survie même en pillant et détruisant
la planète.
Localement, Copé fait de Meaux un laboratoire de la politique du gouvernement : diminution du nombre de logements sociaux, place au tout sécuritaire (renforcement des effectifs de la police municipale, installation de la vidéosurveillance, d’un cantonnement de CRS à Meaux), démocratie de façade (conseils de quartiers bidons, clientélisme…), politique culturelle marchande, exonérations fiscales sans créations d’emplois, zones franches…
La politique de la gauche gouvernementale est impuissante parce qu’elle accepte la logique du profit, de la concurrence et la remise en cause des services publics. On n’a, par exemple, pas beaucoup entendu la direction du P.S au Parlement ni sur les régimes spéciaux, ni sur les franchises médicales, ni sur le service minimum. Et même lorsqu’elle pourrait faire respecter le vote des citoyens qui ont massivement rejeté la Constitution européenne le 29 mai 2005, elle préfère s’abstenir.
Cette situation de casse systématique des acquis sociaux s’inscrit dans la logique de mondialisation capitaliste qui voudrait dresser les travailleuses et les travailleurs du monde entier les uns contre les autres pour mieux les exploiter. La folle course au profit dans laquelle sont engagés les maîtres du monde menace notre survie même en pillant et détruisant
la planète.
Localement, Copé fait de Meaux un laboratoire de la politique du gouvernement : diminution du nombre de logements sociaux, place au tout sécuritaire (renforcement des effectifs de la police municipale, installation de la vidéosurveillance, d’un cantonnement de CRS à Meaux), démocratie de façade (conseils de quartiers bidons, clientélisme…), politique culturelle marchande, exonérations fiscales sans créations d’emplois, zones franches…
La politique de la gauche gouvernementale est impuissante parce qu’elle accepte la logique du profit, de la concurrence et la remise en cause des services publics. On n’a, par exemple, pas beaucoup entendu la direction du P.S au Parlement ni sur les régimes spéciaux, ni sur les franchises médicales, ni sur le service minimum. Et même lorsqu’elle pourrait faire respecter le vote des citoyens qui ont massivement rejeté la Constitution européenne le 29 mai 2005, elle préfère s’abstenir.
Il y a urgence à reprendre l’offensive !
Depuis 1995, les luttes ne cessent de se développer, preuve d’un rejet de plus en plus massif de cette société : grèves contre le démantèlement des retraites en 1995, 2003, 2007, révolte des banlieues, lutte contre le CPE en 2006, mobilisations massives dans l’Education Nationale …
Il est temps de construire un outil qui aide à la convergence des luttes en un mouvement d’ensemble capable de faire reculer le pouvoir et de changer le rapport de force. Ce débouché politique doit porter le projet d’une autre société plus juste, plus humaine et plus égalitaire.
Il est temps d’en finir avec la logique marchande : nos votes, nos besoins, notre bien-être doivent être prioritaires !
Il est temps de construire un outil qui aide à la convergence des luttes en un mouvement d’ensemble capable de faire reculer le pouvoir et de changer le rapport de force. Ce débouché politique doit porter le projet d’une autre société plus juste, plus humaine et plus égalitaire.
Il est temps d’en finir avec la logique marchande : nos votes, nos besoins, notre bien-être doivent être prioritaires !
C’est pourquoi nous, habitants de Meaux et ses environs, militants syndicalistes, associatifs, antilibéraux, personnes révoltées par ce système, reprenons l’appel national de la LCR et décidons de nous regrouper pour former un comité local pour un nouveau parti anticapitaliste.
Vous qui rejetez le capitalisme, brutal et inhumain, rejoignez-nous !
“Nous voulons construire ensemble un parti qui soit un lieu de réflexion et d’action autour des valeurs fondamentales de l’anticapitalisme, du féminisme, de l’antiracisme, de l’écologie, de l’internationalisme et de la démocratie.
Dépassons les divergences idéologiques du passé pour forger ensemble une nouvelle alternative politique et sociale”
Dépassons les divergences idéologiques du passé pour forger ensemble une nouvelle alternative politique et sociale”
Premiers signataires :
Achille Blot, étudiant, assistant d’éducation, militant LCR et Gauche Alternative
Frédéric Brault, fonctionnaire territorial, syndicaliste CGT, militant ATTAC et Gauche Alternative
Thomas Brisset, étudiant, militant LCR et Gauche Alternative
Béatrice Brisset, salariée du privée
Rémy Bultingaire, conseiller municipal, fonctionnaire, syndicaliste SNUI
Brigitte Cavrero, fonctionnaire, ancienne militante du PCF
Stéphane Cavrero, cadre commercial, ancien militant du PCF
Cécile Chevalier, fonctionnaire, syndicaliste SNUI, militante Gauche Alternative
Frédéric Brault, fonctionnaire territorial, syndicaliste CGT, militant ATTAC et Gauche Alternative
Thomas Brisset, étudiant, militant LCR et Gauche Alternative
Béatrice Brisset, salariée du privée
Rémy Bultingaire, conseiller municipal, fonctionnaire, syndicaliste SNUI
Brigitte Cavrero, fonctionnaire, ancienne militante du PCF
Stéphane Cavrero, cadre commercial, ancien militant du PCF
Cécile Chevalier, fonctionnaire, syndicaliste SNUI, militante Gauche Alternative
Cécile Crétenet
Aurélie Fassion, professeur
Aurélie Fassion, professeur
Nathalie Fragaglia
Julien Froger, assistant d’éducation, militant LCR et Gauche Alternative
Sarah Kouassi, étudiante
Eugénio Labarca, fonctionnaire territorial, syndicaliste SUD, militant Gauche Alternative
Julien Froger, assistant d’éducation, militant LCR et Gauche Alternative
Sarah Kouassi, étudiante
Eugénio Labarca, fonctionnaire territorial, syndicaliste SUD, militant Gauche Alternative
Olivier Lefort
Sylvie Loisel
Jean Michel Malrieu
Jean Michel Malrieu
A Lamine N'Diaye
Véronique Giraudeau N'Diaye
Marie-Louise Nolorgues, EJE
Damien Pernet, professeur de lettres et d’histoire
Gwenaële Pirou, professeur des écoles, syndiquée SNUipp, militante LCR
Jean-Luc Pirou, instituteur, ancien militant du Parti des Travailleurs
Baudouin Soulis, graphiste-rédacteur indépendant, militant ATTAC et Gauche Alternative
Marie-Louise Nolorgues, EJE
Damien Pernet, professeur de lettres et d’histoire
Gwenaële Pirou, professeur des écoles, syndiquée SNUipp, militante LCR
Jean-Luc Pirou, instituteur, ancien militant du Parti des Travailleurs
Baudouin Soulis, graphiste-rédacteur indépendant, militant ATTAC et Gauche Alternative
Vatbled Pierre, étudiant, Gauche Alternative
4 commentaires:
oui, je ne vois que des ouvriers(maçons, plombiers, agent de nettoyage, pompiers, femmes de menages, chauffeurs, caissiers des super, magasiniers, serveurs, femmes de chambres, agriculteurs, fermiers, vendeurs, aides soignants,cuisiniers,agents polyvalents,etc.et seulement du privée!!!!, le communisme est le pouvoir des ouvriers, ils sont où?
Certes il est plus qu'urgent de créer le N.P.A afin de donner de bons coups de pieds (gauches)au cul du P.S ( auquel j'appartiens, mais fais parti d'un courant minoritaire). Une question est pour moi importante, N.P.A a-t-il vocation à gouverner? (parce que la critique est facile,mais l'art est difficile...) Bien sur certains d'entre vous on fait cet effort au plan local (bravo!) et vous avez dans vos rangs un conseiler municipal à Meaux( merveilleux!),mais etes vous prets à mettre un peu plus "les mains dans le cambouis" en ne vous contentant pas seulement de scrutins locaux, et si oui à quelles conditions? Sachez, chers amis, que vous avez tout mon soutien.
en réponse à "anonyme". Le "socialisme" c'est avant tout défendre les intérêts de ceux qui vendent leur force de travail contre ceux qui l'exploitent. En France on est 85 % à vivre avec moins de 2000 euros par mois et c'est ceux là qu'on doit défendre et mobiliser, l'immense majorité des Français. Et nous espérons bien ramener au militantisme les moins bien lotis de nos concitoyens. Ce n'est qu'un début, continuons le combat !!
Merci de ton soutien Jean Charles ;-) Nous avons évidemment l'ambition d'être majoritaires sinon quel est l'intérêt de militer. Mais si l'on veut vraiment une transformation radicale de la société, elle ne se fera pas sans un mouvement social d'ampleur, une mobilisation politique constante de la majorité de la population. Nous sommes tojours prêts à mettre les mains dans le cambouis, ave d'autres, mais sur la base d'un programme réellement "de gauche". Ce qui implique par exemple au niveau national de défendre une europe sociale, la retraite pour tous à 37,5 ans, le Smic à 1500 euros net tout de suite, la régularisation des sans papiers... toutes sortes de propositions que le PS refuse au niveau national...
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