L'INA permet de revisiter en ligne de savoureux moments de l'histoire de notre pays (au prix toutefois de quelques instants de pub un peu déplacés) ... et de notre ville, ce qui permet de se souvenir de certains épisodes dont les héros aimeraient peut-être la disparition de leur biographie officielle.
Ainsi, ce moment de la défaite législative de Jean François Copé en 1997, où il fait la leçon aux électeurs du Front National. Le candidat du FN s'était maintenu au second tour dans une triangulaire avec la gauche, ce qui avait permis à cette dernière de l'emporter. Copé explique alors aux électeurs FN qu'ils ont atteint l'inverse de leur objectif en faisant gagner la gauche, qui "malheureusement, risque d'abroger les lois Pasqua Debré".
Dix ans avant Sarko, si ça ressemble pas à du dragouillage éhonté de frontiste de base...
Mais le moment savoureux reste quand même celui où Jean François, alors porte parole du gouvernement, se retrouve alors à devoir expliquer pourquoi la République lui paye un spacieux logement de fonction parisien, alors qu'il possède un appartement de 180 m2 à Paris, qu'il loue. Autrement dit, il fait son beurre sur le dos des deniers publics, et ce en pleine période post Gaymard. Jean François se sent donc sur un siège plus qu'éjectable. Il use alors d'un ton doux, humide et modeste qu'on ne lui connaît guère dans les médias pour "inlassablement" se justifier.
Un petit plaisir bête et méchant, entre deux articles plus sérieux : pour tous ceux qui rêvaient de voir un jour Copé sans morgue et sans arrogance, et désespéraient d'y parvenir, c'est par ici :
copé inlassablement
Ainsi, ce moment de la défaite législative de Jean François Copé en 1997, où il fait la leçon aux électeurs du Front National. Le candidat du FN s'était maintenu au second tour dans une triangulaire avec la gauche, ce qui avait permis à cette dernière de l'emporter. Copé explique alors aux électeurs FN qu'ils ont atteint l'inverse de leur objectif en faisant gagner la gauche, qui "malheureusement, risque d'abroger les lois Pasqua Debré".
Dix ans avant Sarko, si ça ressemble pas à du dragouillage éhonté de frontiste de base...
Mais le moment savoureux reste quand même celui où Jean François, alors porte parole du gouvernement, se retrouve alors à devoir expliquer pourquoi la République lui paye un spacieux logement de fonction parisien, alors qu'il possède un appartement de 180 m2 à Paris, qu'il loue. Autrement dit, il fait son beurre sur le dos des deniers publics, et ce en pleine période post Gaymard. Jean François se sent donc sur un siège plus qu'éjectable. Il use alors d'un ton doux, humide et modeste qu'on ne lui connaît guère dans les médias pour "inlassablement" se justifier.
Un petit plaisir bête et méchant, entre deux articles plus sérieux : pour tous ceux qui rêvaient de voir un jour Copé sans morgue et sans arrogance, et désespéraient d'y parvenir, c'est par ici :
copé inlassablement
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